« J’avais résolu, après mon premier voyage, de passer tranquillement le reste de mes jours à Bagdad, comme j’eus l’honneur de vous le dire hier. Mais je ne fus pas longtemps sans m’ennuyer d’une vie oisive ; l’envie de voyager et de négocier par mer, me reprit : j’achetai des marchandises propres à faire le trafic que je méditais, et je partis une seconde fois avec d’autres marchands dont la probité m’était connue. Nous nous embarquâmes sur un bon navire ; et après nous être recommandés à Dieu, nous (...)